Open-badge as a tool for the recognition of transversal skills : the point of view of higher education students
L’open-badge comme outil au service de la reconnaissance des compétences transversales : le point de vue des étudiant·es de l’enseignement supérieur
Résumé
Globalization or the growing importance of information and communication technologies have profoundly transformed our societies. In addition, the recent health crisis has reinforced the uncertainty surrounding a world in perpetual evolution. International organizations insist on the need to invest in educational and professional orientation and highlight digital transformation as one of the paths to follow. Thus, some digital certifications tend to take more and more importance, especially to respond to the recognition of soft-skills. This is the case for open-badges in French-speaking universities. However, the interest in such a digital tool remains poorly documented. From a quantitative method, this paper proposes to review the interest of students in higher education for such a digital tool. Our analysis reveals that certain characteristics, such as students’ motivation, their choice of field of study or their relationship to extracurricular experiences, influence their level of interest.
La mondialisation ou encore l’importance grandissante des technologies de l’information et de la communication ont profondément transformé nos sociétés. De plus, la récente crise sanitaire a renforcé l’incertitude autour d’un monde en perpétuelle évolution. Les organisations internationales insistent sur la nécessité d’investir dans l’orientation scolaire et professionnelle en mettant en avant la transformation numérique comme l’une des pistes à suivre. Ainsi, certaines certifications numériques tendent à prendre de plus en plus d’importance, notamment pour répondre à la demande de reconnaissance des compétences transversales. C’est le cas des open-badges au sein des universités francophones. Pourtant l’intérêt pour un tel outil digital reste mal documenté. À partir d’une méthode quantitative, cet article propose donc de revenir sur l’intérêt des étudiant·es de l’enseignement supérieur pour ce nouvel outil numérique. Notre analyse révèle que certaines caractéristiques, comme la motivation des étudiant·es, leur choix de filière d’études ou encore leur rapport aux expériences extracurriculaires, influencent leur niveau d’intérêt.
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